
PAC : la France va-t-elle lâcher ses éleveurs ?
François Ruffin interpelle le ministre de l’Agriculture sur sa volonté de condamner à la disparition l’élevage bovin de race à viande en France et ses éleveurs.
François Ruffin interpelle le ministre de l’Agriculture sur sa volonté de condamner à la disparition l’élevage bovin de race à viande en France et ses éleveurs.
On a fait de la Chine l’usine du monde, va-t-on faire du Brésil la ferme-usine du monde ?
Le président prône « la souveraineté alimentaire », et en même temps, il ouvre les marchés agricoles au Canada et au Mexique. À un moment, il faut choisir un cap, et s’y tenir.
Le parlement européen vient de réaliser cet exploit : proclamer à Bruxelles « l’état d’urgence climatique » et la même semaine doubler les importations de viandes américaines… nourries aux farines de sang !
Comment on est devenu copains avec Bruno Dufayet, président de la fédération nationale bovine ? Parce que, lui comme moi on réclame un « nouveau contrat social entre les français et les agriculteurs », qu’un « cap » soit fixé. Pour l’instant entre EGA et CETA, c’est plutot le grand n’importe quoi, en direct du sommet de l’élevage à Clermont-Ferrand.
L’océan devrait être un sanctuaire, non un cimetière.
Pourquoi, sur la pêche électrique, la France a-t-elle renié tous ses engagements, et ceux du Parlement ?
Monsieur le ministre, un spectre hante cette assemblée – du moins, je l’espère –, celui de l’effondrement écologique, celui d’un désastre non réversible. Mon premier
Retrouvez les amendements déposés par François Ruffin et le groupe La France Insoumise, à l’Assemblée nationale, lors de l’examen du Projet de loi Agriculture et Alimentation, au printemps 2018.
En commission, on a beaucoup cité Edgard Pisani, je l’ai entendu cité dans la bouche des rapporteurs, dans la bouche du Président de la commission.
Ce système qui maltraite nature, animaux et Hommes, ce système s’essouffle, s’effondre. Le transformera-t-on ? Non, eux décident de le poursuivre. Tel le poulet la
Chers collègues, Monsieur le ministre, Monsieur le rapporteur, je vais maintenant plaider, et même longuement, la cause animale. Pour que l’agro-alimentaire cesse de traiter vaches
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