Pour sa “Task Force Covid”, Manu a nommé Louis-Charles Viossat, Monsieur Vaccin. Je connais pas. Faites la recherche avec moi, tapez “Louis-Charles Viossat Linkedin” : énarque, patouflard, et surtout, chef des lobbyistes du géant pharmaceutique Abbott. Voilà qui va “dealer” avec Pfizer…
Amélie a publié ce texte, à propos du bar Le Select, à Gardanne. Je le trouve beau, alors je le partage, en pensant à mon papy qui en tenait un, de bistro .
Les profiteurs de “guerre” sont connus : c’est l’industrie pharmaceutique, les assureurs, la grande distribution et les plateformes numériques. Peut-on moralement accepter que des firmes tirent des bénéfices de cette crise quand des malades, l’hôpital, les commerces, le million de pauvre en plus cette année, en souffrent. Les profiteurs du Covid doivent payer !
Vous êtes capable de nous interdire d’aller pisser à plus d’un kilomètre de chez nous pendant le confinement, de nous interdire de mettre un pied dehors après 21h aujourd’hui.
Face aux citoyens, vous êtes des lions.
Mais face à Amazon et Bridgestone, vous êtes des paillassons.
(Et on dirait même que ça vous fait plaisir !)
Retrouvez le 84e épisode du Bulletin de Ruffin, après deux semaines de bataille du budget, un couvre-feu et un deuxième confinement !
« Nous n’avons pas de politique à avoir pour la jeunesse. »
Cette promesse de Macron, il faut le reconnaître, est tenue : vous n’avez pas de politique pour la jeunesse. A Arnaud, Amanda, Pierrick, Sabrina et les millions d’autres vous n’avez que ça à leur offrir : 150€ et un Mars.
La Fnac et Darty vont rester ouvert, ma petite librairie de quartier va fermer, ça dit tout de ce nouveau confinement : les ordinateurs sont essentiels, les livres secondaires. Le télétravail il faut le sauver, mais la culture, l’amitié et même la famille, plus rien à secouer.
Quand Macron en arrive à dire hier soir : “Nous sommes surpris par la deuxième vague”, c’est un gag ? Alors qu’il aurait pu simplement écouter son Conseil scientifique qui n’a cessé de l’alerter.
Telle la cigale, vous avez chanté tout l’été. Vous étiez “prêts”. Vous dirigiez seuls, sans l’Assemblée, sans la société. Et soudain : confinement.
Vous choisissez aujourd’hui de faire un chèque en blanc au Président sur les deux choses essentielles aux Français : la santé et la liberté. Pépères, tranquilles, désinvoltes, vous mettez la démocratie en sommeil, l’Etat de droit entre parenthèse.
Retrouvez le 83e épisode du Bulletin de Ruffin.
Elles gardaient les enfants des soignants pendant le confinement. Du gouvernement elles n’auront même pas eu un “merci” : les assistantes maternelles.
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