L’actu

Femme de ménage Bourdin

Grazziela, femme de ménage à l’Assemblée nationale à 740 euros par mois

Ce qui me fait me lever le matin, c’est l’indécence. L’indécence, des femmes de ménage qui se lèvent à 5h du matin, prennent deux bus, pour laver les bureaux de l’Assemblée nationale sans que personne ne les voit, à 740 euros par mois. Et l’indécence par le haut, les milliards qui pleuvent sur quelques-uns, même par temps de crise…

La santé : Allocutation d'Emmanuel Macron

« Ce que révèle cette pandémie », c’est avant tout leur connerie

Qui l’ignorait, franchement, que « la santé » est un « bien précieux » ? Lui et son « élite » d’énarques, ses obsédés des « déficits », technocrates, Inspecteur des finances qui ont jivarisé la politique ? « Ce que révèle cette pandémie », c’est avant tout leur connerie.

La première des ruptures : la vie avant l’économie

La vie avant l’économie. Ces quelques mots vont de soi, ils énoncent une banalité. En vérité, c’est toute la société que nous avons à inverser, un grand renversement, le cul par-dessus tête, ou au contraire le monde remis à l’endroit, les pieds enfin sur terre.

bernard arnault hopital

Cher Bernard Arnault, on ne fait pas l’hôpitalothon…

L’hôpital ne fait pas l’aumône. Pour le financer, nous ne devons pas compter sur la générosité de Bernard Arnault et ses amis : il faut exiger d’eux qu’ils payent leurs impôts en France, toute l’année, comme le reste des Français.

soignant ou trader ?

Qui est le plus utile : un trader ou une aide-soignante ?

Qu’est-ce qui est le plus utile : un publicitaire ou une caissière ? Auxiliaires de vie sociale, infirmières, caissières, livreurs… On va leur offrir quoi, à la sortie de la crise ? La « reconnaissance de la Nation » ? Ou de plus hauts salaires, et de meilleurs horaires ?

paul jorion

Paul Jorion : « Il nous faut une économie dirigée »

« Après 2008, ont-ils interdit la spéculation ? Non.
On est prévenus. Or notre priorité c’est la survie du genre humain. S’ils ne comprennent pas, il faudra les arrêter avec la police, avec des tribunaux… La patience des gens a des limites. »

coronavirus : nous payons leur nullité

Nous payons leur nullité

Leur rhétorique guerrière n’est là que pour cacher cette évidence : leur nullité.
Comme l’a dit Macron à ses ministres : « On n’oubliera pas. »
Non, nous n’oublierons pas. Aujourd’hui, nous payons leur nullité.
Demain, nous la leur ferons payer.

Que fera-t-on de cette crise ? Emmanuel Macron à Mulhouse

Que fera-t-on de cette crise ?

Faisons-leur confiance : pour un retour à l’identique, tel quel, à des nuances près, ils sauront faire. Ils seront les meilleurs, vraiment.