Vous avez du talent Monsieur le Ministre, je dirais même : vous êtes le meilleur des menteurs. Sur les bancs du gouvernement, aujourd’hui c’est le bal des faux-culs : vous valorisez le travail dans les mots, mais vous l’écrasez dans les faits !
Combien prévoit-il de donner, encore, au CAC40 ? Lors de ce mandat, on a calculé : c’est 163 milliards de cadeaux aux firmes et à leurs actionnaires. Autant que Martine, aide à domicile, n’aura pas…
On attend ça, la voix de la France, une voix d’indépendance et de résistance, pour Julian Assange. La France se grandirait à l’accueillir. Mais elle s’aplatit. Vous choisissez la voie de la honte.
« A-CTIO-NNAIRES… DI-VI-DENDES… CAC-QUA-RANTE… » Allez, répétez après moi, Mesdames et Messieurs les ministres ! Votre silence sur l’orgie là-haut est complice : vous couvrez ceux qui se gavent !
“A votre place, je la ramènerais pas ! Parce que qui ici, quel député, est prêt à vivre juste un mois avec 764,10€ ? Avec le salaire moyen d’un agent d’entretien ? Qui ? Allez-y, levez le bras ! Y a personne ?
En revanche, vous voterez tous contre un coup de pouce au Smic !”
Vous faisiez déjà de “l’école inclusive low cost”. Mais voilà votre dernière trouvaille : l’inclusion selon le compte en banque ?
Retrouvez toutes mes interventions contre le passe vaccinale à l’Assemblée nationale.
Dimanche, je prenais la parole à l’Assemblée nationale pour demander le rejet du passe vaccinal. Voici ce que j’ai dit aux députés.
Une caissière qui fait perdre un bon d’achat à sa boîte risque le licenciement. Mais que Villepin, Macron, Le Maire, Borne, Kohler organisent le pillage des autoroutes, sont-ils sanctionnés ? Jamais. Au contraire…
“Vous mettez en place le passe vaccinale pour protéger l’hôpital, dites-vous Monsieur le Ministre. Mais c’est de vous qu’il faut protéger l’hôpital : entre mars 2020 et aujourd’hui, ce sont 500 lits de réanimation qui ont disparu !”
La course entre les patients à l’hôpital, les brancards dans les couloirs, les lits, les services, les maternités fermés : ça n’est pas le Covid, c’est un choix. Votre choix à vous, au président Macron. Ca n’est pas une fatalité : nous pouvons changer ça.
Parce que les femmes ne veulent plus subir mais choisir, parce que les sages-femmes ne veulent plus d’accouchements déshumanisés, il faut recruter dans les maternités.
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