Il nous faut une économie de guerre climatique. Comme l’ont fait les États-Unis en 1942 : diriger les capitaux, la main-d’œuvre, les savoirs-faire, vers des objectifs stratégiques. Eux, c’étaient fabriquer des bombardiers, des porte-avions, des tanks… Nous, faire basculer l’agriculture, l’énergie, l’industrie, les transports.
Mais nos dirigeants ne feront rien de tout ça. Pourquoi ? Parce qu’ils ne veulent pas diriger. Culturellement, psychologiquement, idéologiquement, ils font confiance à la main invisible du marché…